ARCEL'G@ME / Créé par et pour des collégiens, ce jeu interactif vise à lutter contre le harcèlement. Reposant sur des illustrations de type Bande Dessinée animées avec de petites séquences vidéo, il permet au joueur, à la manière d'un jeu de rôle, de se mettre à la place des 3 acteurs impliqués dans le harcèlement : la victime, le témoin et le harceleur.

MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE / Édouard Philippe, Premier ministre, et Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, ont réuni le lundi 26 mars 2018 un comité interministériel de la santé (CIS). 25 mesures-phares de la politique de prévention ont été présentées. Elles sont destinées à accompagner les Français pour rester en bonne santé tout au long de leur vie. Ces mesures concrétisent le premier axe de la stratégie nationale de santé 2018-2022 du Gouvernement. Retrouvez la mesure-phare consacrée à l'école, promotrice de santé.

MISSION DE RECHERCHE DROIT & JUSTICE / Cette recherche visait à mettre à l’épreuve trois hypothèses : la vulnérabilité spécifique de certains jeunes face au contenu des images violentes, sexuelles et haineuses (VSH), aux côtés d’autres sources de vulnérabilité mieux connues ; le rôle de la difficulté de symbolisation (notamment la maîtrise de l’écrit) dans la capacité à se distancier des images ; le potentiel éducatif que représente le travail d’élaboration avec les adolescents autour des images et des émotions qu’elles suscitent.

CONSEIL ECONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL / La santé et l’école sont en tête des préoccupations des Français.es. L’école est un lieu de vie propice à la prévention. Elle permet le repérage et la prise en charge des troubles de toute nature qui peuvent affecter la santé des 12 millions d’élèves qu’elle scolarise pour une durée de plus de 18 ans en moyenne. Elle est, pour des populations fragilisées ou dans certaines zones en difficultés, la seule garantie d’accès à un suivi médical. Pour le CESE, la santé des élèves est un des déterminants de la réussite scolaire. Mais si les pouvoirs publics affichent la volonté de faire de la santé à l’école une priorité, le contraste est grand entre les objectifs assignés à cette politique et les actions sur le terrain. En quelques années, les alertes se sont multipliées, pointant la réduction continue des effectifs de la médecine scolaire, les visites médicales non assurées, les problèmes de santé mal ou trop tardivement diagnostiqués, les inégalités croissantes entre les territoires … Cet avis propose d’impulser un changement. La réponse à l’urgence passe par trois axes : l’implication de tous et toutes dans la protection et la promotion de la santé à l’école ; le décloisonnement à travers notamment la valorisation du rôle de coordination de la médecine scolaire ; l’évaluation des réalisations, pour progresser et répondre aux enjeux au plus près des élèves.

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